•  

    Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
    Pour partir, cœurs légers, semblables aux ballons,
    De leur fatalité jamais ils ne s'écartent,
    Et, sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !

     

     

    Le voyage

    Charles BAUDELAIRE

     

            


    votre commentaire

  • 2 commentaires
  • L'heure d'un premier bilan :

    Un cadre naturel privilégié

    Une équipe encadrante bienveillante et compétente

    Des enfants grandis et des compétences fondamentales acquises

    Une exploitation et un réinvestissement de ces apprentissages prévus courant mai

    ...

    Je laisse vos enfants vous raconter tout le reste... les anecdotes importantes à leurs yeux, ces souvenirs impérissables.

    Et se reposer surtout. Ils ont mérité leurs vacances.

     

    Bien cordialement,

    Jean-Philippe WILK


    8 commentaires
  • 18h30 peut-être ?

    J'ajusterai l'heure ici


    4 commentaires

  • 4 commentaires
  • Travail travail travail

    Jeux d'acteurs

    Mises en scènes

     

     

     

     


    votre commentaire
  • On a beaucoup dansé à la boum.

    On s'est vraiment amusé.

    On a bien dormi.

    On vient de se réveiller.

    On s'est habillé.

    On a rangé nos chambres.

    On va aller petit-déjeuner...


    17 commentaires

  • 2 commentaires

  • 23 commentaires

  • 5 commentaires
  • Récré roulades


    6 commentaires
  •  

     

     

     

    (légende locale, contée hier soir en veillée et retranscrite par les élèves)

     

     

     

    Il était une fois un berger qui possédait une centaine de brebis qu'il menait quotidiennement en pâturage près de l'auberge de Moulès. Il s'asseyait tous les jours sur le même rocher, près de l'auberge. Et il rêvait. Son rêve : devenir le seigneur du château de Moulès qui se situe derrière la montagne.

     

     

     

    Une longue période de sécheresse assoiffait les bêtes. L'herbe verte de la montagne jaunissait et séchait. Le berger était sur sa pierre, celle sur laquelle il s'asseyait tous les jours, depuis des années maintenant, pour se laisser aller à rêver... il espérait que la pluie arrive. Et la pluie arriva. Mais tellement fort que la roche se fendit en deux. Il entendit alors des bruits de sabots. Il vit un cheval dont la robe était de bronze. C'est la pierre fendue qui lui avait donné naissance. Était-ce un piège ? Il tourna plusieurs fois autour avant d'entrevoir une petite porte, au-dessus de la queue. Devait-il partir ? Fuir ? Prendre les jambes à son cou ? Puis il prit son courage à deux mais et décida d'ouvrir cette porte secrète pour voir ce qu'elle recelait. Il y glissa sa main mais n'y trouva rien. Il ré-essaya, car il faut toujours ré-essayer. Et là, le bronze du cheval tomba. Le berger se transforma en roi. Son rêve se réalisa. Il vit alors quelqu'un arriver, c'était le roi, enfin, l'ancien roi ; celui-ci était devenu berger et amenait en pâturage la centaine de brebis.

     

     

     

    Le berger portait sa nouvelle couronne, toute brillante, fièrement sur sa tête !

     


    1 commentaire
  • Le maître a passé un bout de la nuit à chasser des insectes dans les chambres. Il s'est regalé! À sauver les nuits de ses petits élèves...

     

     


    3 commentaires

  • 3 commentaires

  • 2 commentaires

  • 10 commentaires
  • Le

     


    10 commentaires

  • 8 commentaires
  •  

    (je vous remercie pour votre indulgence pour ce texte écrit avec mes élèves et repris à la va-vite)

     

    Un élève a demandé pourquoi est-ce qu'on faisait du théâtre ?

     

    Le maître a répondu : parce que dans « classe verte », il y a « classe ». On y apprend des compétences qui vont nous servir toute notre vie, dans la vie de tous les jours, dans notre façon d'être, de parler, avec des voisins, des amis, des camarades, des collègues, le patron…

     

    L'animateur de théâtre s'appelle Lionel. 

     

    Le regard

    Jeu du 1,2,3. Il fallait fixer les yeux de l'autre pendant trois secondes. Quand on parle à quelqu'un, on doit le regarder dans ses yeux pour être sûr qu'il nous écoute.

     

    Respirer

    Il nous a appris la respiration théâtrale : on est allongé, on inspire par le nez, on retient notre respiration, on souffle (expiration) doucement avec la bouche pour évacuer l'air.

     

    Parler

    Quand quelqu'un nous parle, il faut bien l'écouter, et pour ça, il ne faut pas parler en même temps.

    Il faut parler bien fort et articuler pour être entendu, et prendre son temps.

    C'est important de placer des silences. Ça donne du rythme.

     

    Les expressions et le corps

    Jeu des braises. Il ne fallait pas rire. Pour que le spectateur comprenne, pour qu'il y croit, il faut exagérer. On devait voir à notre visage que ça faisait mal.

     

    Avec toutes les parties de son corps (bras, jambes...), il fallait toucher le plus d'objets possibles (chaises, tables...), des parties de la pièce (murs...) ... Un enfant a dit que ce n'était pas possible. Lionel a dit que « Ce n'est pas parce que ce n'est pas possible qu'il ne faut pas essayer ».

     

    On était debout, les yeux fermés. Lionel nous donnait un mot. On devait réfléchir trois secondes puis on devait mimer cet objet avec le corps et des positions. Il y avait le stylo, la fourchette, la trousse, la brosse à dents, les lampadaires, la tasse, la théière, le fer à repasser, l'aspirateur... Ce jeu nous permet de travailler le corps dans différentes positions dans l'espace.

     

    Les déplacements - L'espace

    Ici, à Moulès, on prend notre temps : on ne court pas, on parle calmement…

    Jeu de la vitre très fine de 2mm et haute de 300m.

    Plus il y avait de personnes au même endroit et plus il y avait de risques de fissures et que ça craque.

     

    Jeu du ressort.

    Un sol est rempli de ressorts géants qui nous faisaient sauter de partout.

    Nous devions nous déplacer sans toucher les autres et tout en occupant l'espace.

     

    « L'effet poney », c'est quand on a tous tendance à tous tourner dans le même sens, le sens du manège, le sens des ronds-points...

     

    Pour se déplacer avec beaucoup d'équilibre, il nous utiliser nos bras.

     

    Les coulisses.

    Il ne faut pas parler dans les coulisses sinon le public nous entend.

    Il y a deux coulisses : côté jardin et côté cour. Le côté cour c'est du côté du cœur, à gauche, quand on est un acteur sur scène. 

     

    La position de l'acteur : les jambes droites, les pieds en parallèles et les bras le long du corps.

    Si le nez nous gratte, il faut résister et ne pas se gratter ; c'est un geste parasite, si on le fait, le public ne va voir que ça.

     

    Le jeu de la bulle

    On était dans une bulle, on devait se déplacer lentement, sans faire de bruit, en silence et sans toucher les autres. Il fallait occuper tout l'espace. Lionel a placé des chaises pour réduire l'espace et nous forcer à occuper toute la scène.

     

    Pour conclure : Les essentiels du théâtre : respiration regard corps espace voix

     

    Jeu de la statue. Pour trouver sa place. Occuper l'espace. Qu'il n'y ait pas de trous. Pour ne pas déranger les autres. Pour parvenir à ne pas bouger, il faut respirer très doucement.

     

     La récréation

    C'est de l'herbe verte, c'est la nature.

    On a joué aux jeux suivants : roulé-boulés, le football, le freesbee, la balle aux prisonniers, le volley-ball, les raquettes, des dessins...

     


    11 commentaires